la Caletta à Villasimius
Le 24 juillet, nous quittons le port de la Caletta en direction de la Cala Luna dans le golfe d’Orosei
Le 24 juillet, nous quittons le port de la Caletta en direction de la Cala Luna dans le golfe d’Orosei
La mer est belle et un petit force 3 au bon plein nous assure une navigation de tout repos pour la trentaine de miles à parcourir.
Le golfe est très beau et ma foi assez désert.
Nous arrivons en fin d’après–midi et nous jetons l’ancre dans une eau turquoise près de la plage bordée de falaises aux multiples grottes et c’est la routine qui s’installe… baignade dans une eau transparente au milieu des poissons… jeu à celui qui trouve l’ancre le premier…
Nous passerons une nuit très calme en compagnie d’un autre bateau et le lendemain, après notre baignade matinale nous embarquons dans l’annexe pour aller visiter la grotte blue marino. En sortant, une surprise nous attendait, la brise était montée, une désagréable houle se heurtait aux falaise et nous fîmes le chemin inverse dans une annexe qui ressemblait plus à un shaker. L’accostage au bateau fut chaud et si le vent se calma en soirée le bateau bougea ainsi toute la nuit sans risque de toucher quiconque car nous étions seuls. Pas tout à fait car le soir nous aperçûmes un couple de randonneurs qui s’installaient sur la plage pour dormir. Cela nous rappela l’époque où avec Bénédicte nous randonnions sac à dos en faisant du camping sauvage… c’est aussi une façon géniale de voyager qu’il nous tarde d’expérimenter avec les enfants lorsqu’ils seront plus grands.
Le lendemain matin, après le bain, nous prenons la direction de Sta Maria Navaresse non sans faire un arrêt devant la grotte de Fico
Nous arrivons en fin d’après–midi et nous jetons l’ancre dans une eau turquoise près de la plage bordée de falaises aux multiples grottes et c’est la routine qui s’installe… baignade dans une eau transparente au milieu des poissons… jeu à celui qui trouve l’ancre le premier…
Nous passerons une nuit très calme en compagnie d’un autre bateau et le lendemain, après notre baignade matinale nous embarquons dans l’annexe pour aller visiter la grotte blue marino. En sortant, une surprise nous attendait, la brise était montée, une désagréable houle se heurtait aux falaise et nous fîmes le chemin inverse dans une annexe qui ressemblait plus à un shaker. L’accostage au bateau fut chaud et si le vent se calma en soirée le bateau bougea ainsi toute la nuit sans risque de toucher quiconque car nous étions seuls. Pas tout à fait car le soir nous aperçûmes un couple de randonneurs qui s’installaient sur la plage pour dormir. Cela nous rappela l’époque où avec Bénédicte nous randonnions sac à dos en faisant du camping sauvage… c’est aussi une façon géniale de voyager qu’il nous tarde d’expérimenter avec les enfants lorsqu’ils seront plus grands.
Le lendemain matin, après le bain, nous prenons la direction de Sta Maria Navaresse non sans faire un arrêt devant la grotte de Fico
où il faudra laisser le bateau à l’ancre dans 15 mètres d’eau alors que le zodiac de la grotte viendra nous chercher. Cette grotte est très belle et son personnel très sympathique nous fera même une visite guidée en français. L’endroit est à privilégier à blue marino qui nous a semblé plus piège à touristes.
De retour au bateau, les 50 mètres de chaîne seront remontés sans effort (le guindeau électrique est une merveilleuse invention !!!) et nous rallions Sta Maria Navaresse.
Nous passerons 2 nuits là pour s’occuper du ravitaillement et nettoyer le bateau, non sans profiter du village et de la plage.
Le 28 juillet à 17H40 nous larguons les amarres pour Cagliari à plus de 80 miles. Nous avons tous envie de cette navigation sous les étoiles. J’espérais un peu de NW force 3 confirmé par les fichiers météo grib mais nous aurons du F2 de SW au début et rien ensuite. Le trajet se fera au moteur et y perdra un peu d’intérêt. Nous nous consolerons par une séance cinéma avec « Astérix chez les bretons »
et la nuit sera quand même très étoilée et Bénédicte sera saluée au petit matin par un grand dauphin solitaire. En cours de route, nous décidons qu’il n’est pas utile d’arriver trop tôt à Cagliari (nous allons plus vite au moteur) et nous mettons le cap vers le Capo di Pula de l’autre coté de la baie. Les enfants sont en super forme mais les adultes un peu dans le pâté. Le 29 à 08H10 nous jetons l’ancre et après notre rituelle baignade matinale, nous sautons dans l’annexe pour aller visiter le site romain de Nora. C’est extraordinaire et, de l’avis général, beaucoup plus parlant que le forum de Rome. On y déambule dans les rues entre habitations, temples et thermes et avec un peu d’imagination (Bénédicte en a beaucoup !) on s’y croirait. « attention les enfants vous marchez sur vos toges !!! » « Et comme ça papa tu le vois l’Ostrogoth !!! » De retour au bateau, les 50 mètres de chaîne seront remontés sans effort (le guindeau électrique est une merveilleuse invention !!!) et nous rallions Sta Maria Navaresse.
Nous passerons 2 nuits là pour s’occuper du ravitaillement et nettoyer le bateau, non sans profiter du village et de la plage.
Le 28 juillet à 17H40 nous larguons les amarres pour Cagliari à plus de 80 miles. Nous avons tous envie de cette navigation sous les étoiles. J’espérais un peu de NW force 3 confirmé par les fichiers météo grib mais nous aurons du F2 de SW au début et rien ensuite. Le trajet se fera au moteur et y perdra un peu d’intérêt. Nous nous consolerons par une séance cinéma avec « Astérix chez les bretons »
Le soir nous serons à Cagliari, la capitale de la Sardaigne. Une fois dans le port, un bateau nous fait de grands signes en direction de quelques dauphins évoluant au milieu des ferry et des grues. Nous accostons sur le quai principal qui semble en effervescence et une nuée de bras se jette sur nos amarres. Nous tombons en pleine organisation de la Sandalion cup Cagliari et malgré tout nous serons autorisés à rester là au milieu des régatiers et le responsable nous offrira même des tee shirt . L’accueil et la gentillesse des autorités est remarquable et les environs de Cagliari valent bien à nos yeux le nord et la Maddalena.
Nous sympathiserons avec Louis et Gisèle qui nous signalèrent les dauphins et Louis me donnera des cours de pêche et nous indiquera les beaux coins de la région.
Cagliari est une ville agréable très marquée par son histoire et très cosmopolite. Nous nous y sentons bien et une visite en petit train nous enchantera. Un soir la ville est en fête et des animations et des groupes musicaux amateurs se mettent en place un peu partout. Les enfants laisseront même une trace éphémère dans la rue.
Le 1er Août nous quittons le quai salués par Gisèle et Louis tout à la préparation de leur très bel Ecume des mer pour les régates. Mouillages à Cala Régina, Cala Pira sans oublier les leçons :Nous sympathiserons avec Louis et Gisèle qui nous signalèrent les dauphins et Louis me donnera des cours de pêche et nous indiquera les beaux coins de la région.
Cagliari est une ville agréable très marquée par son histoire et très cosmopolite. Nous nous y sentons bien et une visite en petit train nous enchantera. Un soir la ville est en fête et des animations et des groupes musicaux amateurs se mettent en place un peu partout. Les enfants laisseront même une trace éphémère dans la rue.
Violette attend son tour
Une petite partie de dames
Une petite partie de dames
et le 03 août nous entrons à Villasimius pour préparer notre départ pour la Sicile à une trentaine d’heures de navigation de là.
A bientôt …
A bientôt …
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